Synopsis : Certains territoires du cervelet et d'autres champs de la conscience sont restés inexplorés avant les années quatre-vingt et la découverte d'une nouvelle drogue, la MDMA, plus connue sous le nom d'ecstasy. Drogue dure, cette "pilule de l'amour" à effet rapide "avec une montée et une descente comme dans les montagnes russes" rend la vie des personnages de ce recueil de nouvelles parfois difficile : jouissive avant d'être sombre, heureuse avant d'être déprimante. On s'aime, on se déchire, on fait des choses folles comme voir le monde au bord du gouffre, oublier ses inhibitions et ses tabous... et puis... passer les bornes.
Avis :
En tant que grande fan de Frédéric Beigbeder, je me devais de lire ce livre, comme tout ceux qu'il a écrit. L'amour dure trois ans est sans conteste, pour ma part en tout cas, le meilleur livre au monde mais du coup, comme on adule le livre, on est souvent déçu par les autres livres de l'auteur, qui ne sont pas à sa hauteur.
Pour ce qui est de la couverture, je vais être sincère, au risque d'être dure ; j'aime pas. On dirait justement un dessin fait par un enfant, et puis ce n'est représentatif d'aucune de ces nouvelles. C'est pourtant la seule et unique couverture et édition de ce livre, ce qui est franchement dommage.
Il n'y a pas d'histoire a proprement parler, c'est un recueil de quatorze nouvelles courtes, toutes écrites par l'auteur sous l'emprise de la drogue. Beigbeder écrit certaines de ses nouvelles en mettant en scène des personnes et d'autres en jouant le premier rôle.
Je pense que pour apprécier cette lecture, il faut apprécier l'univers de Beigbeder, qui est assez spécial, très cru à certains points, par exemple les nouvelles Le jour où j'ai plu aux filles, La nouvelle la plus dégueulasse de ce recueil et Ecstasy à Go-go de ce recueil sont à éviter si vous êtes assez .. jeune? Sinon, les autres sont assez légères et facile à lire, et il faut bien sur prendre cette lecture au second degrés, car il n'y a rien de vraiment très sérieux dans tout cela. Personnellement, j'ai assez apprécié cette lecture, assez rapide ( 101 pages ) et on y retrouve bien la plume de Frédéric Beigbeder.
Pour ce qui est de la couverture, je vais être sincère, au risque d'être dure ; j'aime pas. On dirait justement un dessin fait par un enfant, et puis ce n'est représentatif d'aucune de ces nouvelles. C'est pourtant la seule et unique couverture et édition de ce livre, ce qui est franchement dommage.
Il n'y a pas d'histoire a proprement parler, c'est un recueil de quatorze nouvelles courtes, toutes écrites par l'auteur sous l'emprise de la drogue. Beigbeder écrit certaines de ses nouvelles en mettant en scène des personnes et d'autres en jouant le premier rôle.
Je pense que pour apprécier cette lecture, il faut apprécier l'univers de Beigbeder, qui est assez spécial, très cru à certains points, par exemple les nouvelles Le jour où j'ai plu aux filles, La nouvelle la plus dégueulasse de ce recueil et Ecstasy à Go-go de ce recueil sont à éviter si vous êtes assez .. jeune? Sinon, les autres sont assez légères et facile à lire, et il faut bien sur prendre cette lecture au second degrés, car il n'y a rien de vraiment très sérieux dans tout cela. Personnellement, j'ai assez apprécié cette lecture, assez rapide ( 101 pages ) et on y retrouve bien la plume de Frédéric Beigbeder.
La dernière nouvelle est une sorte de conclusion de ce recueil, on retrouve le Beigbeder de L'amour dure trois ans. Même si j'ai beaucoup apprécié cette lecture, je dirais que si je devais conseiller cet auteur à quelqu'un, ce n'est sûrement pas avec ce livre, car si l'esprit ne lui plait pas, je ne pense pas que cette personne aura vraiment envie de lire d'autres livres du même auteur. Et je lui conseillerais bien sur de lire L'amour dure trois ans en premier lieu, et si l'univers léger et assez perturbé lui a plu, de continuer avec cette lecture
Note : 15/20
Citations favorites :
« On ne doit plus rêver les mots, il faut les vivre. »
« Le plaisir présente un avantage : contrairement au bonheur, il a le mérite d'exister. »
« Les fêtes sont comme la vie: elles naissent et meurent comme des êtres humains. Elles connaissent des moments d'apogée et des instants de déchéance. Elles ont des hauts et des bas. Comme nous, les fêtes sont sans lendemains. »
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